Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Notre-Dame, le 13 juillet 1917

Que dit l’Ange ? Il demande de prier : « Priez avec moi  ». Pour cela, il enseigne lui-même une prière aux petits voyants. Cette prière est pour demander pardon pour tous les péchés commis par les hommes. Puis il indique à qui doit être adressée cette prière : aux deux cœurs de Jésus et de Marie.

Cette première prière de l’Ange contient l’un des points les plus importants du message de Fatima, peut-être même le plus important : il existe des gens qui ne plaisent pas à Dieu, car ils ne croient pas en Lui ou ne L’adorent pas et nous devons prier pour eux. Voilà le premier enseignement de Fatima : nous devons demander pardon aux Cœurs de Jésus et Marie pour les pécheurs.

Cette prière est très courte et très facile à dire. À l’occasion de ce centenaire, essayons d’acquérir l’habitude de la réciter dans la journée. Un ami prêtre la récite à la fin de chaque Benedicite. Voilà une excellente manière de faire, mais il est possible de la réciter à tout autre moment. Et pour suivre plus exactement la demande de l’Ange à Fatima : « Priez avec moi », récitons-la avec notre ange gardien.

Cette nécessité de prier pour les pécheurs va être rappelé avec une inlassable constance à presque toutes les apparitions de Fatima. Ainsi, cette première apparition de l’Ange prépare la première apparition de Notre-Dame l’année suivante (le 13 mai 1917) dans laquelle la Sainte Vierge demande à Lucie : « Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ? »

Ce sera la seule question posée par Notre-Dame au cours des six apparitions de 1917 ; toutes ses autres paroles seront des demandes ou des enseignements. Et à travers les petits pastoureaux, c’est aussi à nous que Notre Dame adresse cette question : voulons-nous faire des sacrifices pour la conversion des pécheurs et réparer leurs péchés qui offensent Notre Seigneur ?

Alors, comme la conversion des pécheurs ne peut pas attendre, commençons dès aujourd’hui à offrir les sacrifices de la vie quotidienne pour réparer les péchés des hommes et obtenir leur conversion.

En union de prière par les cœurs de Jésus et Marie.
Yves de Lassus


Petite chronique du projet

Plusieurs personnes ont demandé ce qu’elles pourraient faire pour soutenir le projet. À ce stade, l’action la plus utile est de le faire connaître. En effet, il faut qu’au cours des deux ans qui viennent, nous travaillions à ce que le plus grand nombre possible de personnes puisse connaître la dévotion au Cœur Immaculé de Marie et la mette en pratique. Or, plus l’effet "boule de neige" commencera tôt, plus le nombre de personnes touchées sera grand. Aussi devons-nous avoir à cœur de répondre à la préoccupation de Notre-Dame en faisant parvenir ses demandes à tout notre entourage.

Pour cela, il y a deux façons faciles de procéder :

  1. La première consiste à renvoyer cette lettre par internet. Nous avons tous au moins une centaine d’adresses dans notre carnet d’adresse. Si chacun prenait la peine de renvoyer cette lettre à ces adresses, beaucoup de personnes qui ne connaissent peut-être pas la prière de l’Ange pourraient ainsi la connaître.
    Certes, il y a le risque d’envoyer la lettre à des personnes qui l’ont déjà reçue par ailleurs. Mais, ce petit inconvénient n’est rien en regard de l’augmentation du nombre de personnes qui seront ainsi conduites à connaître la demande de l’Ange.
    Par ailleurs, pour pallier à cet inconvénient, un outil est en train d’être installé sur le site afin de permettre un envoi centralisé et automatique de la lettre de liaison aux personnes que vous lui indiquerez. Ainsi, il sera possible d’éviter les doublons.
  2. La deuxième façon d’aider le projet consiste à distribuer la lettre de liaison autour de soi sous forme papier. Car, il serait injuste que cette lettre soit réservée à ceux qui ont accès à internet. Malgré les moyens modernes de communication, une édition papier garde une efficacité propre. Mais l’impression et l’envoi par la poste de façon centralisée auraient un coût qu’il n’est guère possible d’envisager. Et en aurions-nous les moyens, ce serait de toutes les façons de l’argent mal utilisé : mieux vaudrait faire dire des messes pour la conversion des pécheurs.

Par contre, beaucoup d’entre nous ont une imprimante chez eux : il est donc facile de tirer une dizaine d’exemplaires de la lettre et de la déposer dans un lieu de passage, par exemple sur la table de presse de sa paroisse, après en avoir demandé l’autorisation à son curé. Ce serait de plus une excellente occasion d’aborder le sujet de Fatima avec lui et voir ce qu’il serait possible de faire au niveau de la paroisse, en particulier pour mettre en place la pratique des premiers samedis du mois.

Il y a bien sûr bien d’autres actions possibles. Pour ceux qui manqueraient d’imagination, une liste non exhaustive a été mise sur le site. Si vous êtes convaincu de l’importance de ce projet et volontaire pour prendre en charge l’une ou l’autre de ces actions, veuillez le signaler en envoyant un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. : vous serez mis en contact avec la personne chargée de coordonner l’action en question.

Et n’oublions pas !
Samedi prochain, 6 juin : 1er samedi du mois.

(Voir sur le site la fiche sur la communion réparatrice des premiers samedis du mois).

 

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