Cap Fatima
Sur le chemin du Ciel avec le Cœur Immaculé de Marie
|
||||||
« Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. » |
||||||
To translate to another language, click HERE to return to the website
and click on the desired language in the left menu. LL n° 135 : Analyse de la consécration du 25 mars 2022Samedi prochain, 2 avril 2022 : 1er samedi du mois
Lettre de liaison n° 135 (31 mars 2022)Chers amis, Ces jours derniers, trois lettres ont été publiées sur la consécration du 25 mars 2022, analysant en particulier :
Plusieurs lecteurs ont cependant souhaité avoir confirmation de ce qu’il fallait en penser. Pour répondre à leur demande, nous allons reprendre les principes exposés dans ces trois lettres pour les appliquer à l’acte du 25 mars et voir les conclusions que l’on peut en tirer. Rappel sur les demandes du CielPour apprécier correctement la valeur de l’acte de vendredi dernier, il est indispensable de bien avoir à l’esprit que le Ciel a demandé deux consécrations, ou plutôt une consécration mais avec deux formes différentes, chaque forme ayant des fruits spécifiques. La chronologie des différentes demandes du Ciel permet de bien en comprendre l’esprit, en particulier pourquoi les fruits des deux formes ne sont pas les mêmes. 13 juillet 1917 à Fatima 10 décembre 1925 à Pontevedra 13 juin 1929 à Tuy Mai 1930 à Tuy Juin 1930 à Tuy Août 1931 à Rianjo 30 juillet 1935 à Balazar 19 mars 1939 1939/1940 Très Saint-Père, notre bon Dieu, au cours de plusieurs communications intimes, n’a cessé d’insister sur cette demande, et il a promis dernièrement que si votre Sainteté daignait consacrer le monde au Cœur Immaculé de Marie, avec une mention spéciale de la Russie, il abrégerait les jours de tribulation par lesquels il a décidé de punir le monde de ses crimes, au moyen de la guerre, de la famine et de la persécution contre l’Église et contre votre Sainteté. Conclusion Voyons maintenant ce qu’il en est pour la consécration du 25 mars 2022. À quelle forme répond-elle ? Une véritable consécration …Lorsque le 2 mars parut la lettre des évêques ukrainiens demandant au Saint-Père de bien vouloir « consacrer au Très Saint Cœur Immaculé de Marie l’Ukraine et la Russie, comme l’a demandé la Très Sainte Vierge de Fatima », personne ne pensait que le Saint-Siège répondrait positivement, la position officielle du Vatican étant que, depuis 1984, la consécration est faite. C’est pourquoi lorsque, le 15 mars, le bureau de presse du Vatican annonça que, le 25 mars, le pape François consacrerait la Russie et l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie, la stupéfaction fut grande. Elle fit rapidement place à un grand espoir quand, le dimanche suivant (20 mars), au cours de l’Angelus, François lui-même annonça : J’invite chaque communauté et chaque fidèle à s’unir à moi vendredi 25 mars, solennité de l’Annonciation, pour accomplir un acte solennel de consécration de l’humanité, en particulier de la Russie et de l’Ukraine, au Cœur immaculée de Marie, afin qu’elle, Reine de la paix, obtienne la paix pour le monde. L’ajout de l’humanité fut pour les spécialistes une petite déception : ce n’était plus uniquement la Russie et l’Ukraine comme annoncé initialement. Malgré tout, François parlait de "consacrer" … "la Russie" … "au Cœur Immaculé de Marie". Et il précisait qu’il le ferait "solennellement". Or en 1930, Notre-Seigneur a demandé « un acte public et solennel de réparation et de consécration ». Mère de Dieu et notre Mère, nous confions et consacrons solennellement à ton Cœur immaculé nous-mêmes, l’Église et l’humanité tout entière, en particulier la Russie et l’Ukraine. Ce fut donc bien une consécration : le titre de la prière est "Acte de consécration" et le verbe "consacrer" figure deux fois dans la prière. Ensuite la Russie est nommément désignée. Enfin, l’acte est bien adressé au Cœur Immaculé de Marie. C’est la première fois qu’au cours d’une cérémonie officielle, le pape prononce publiquement, dans une même phrase, les mots : « Je consacre … la Russie … au Cœur Immaculé de Marie. » Le seul à l’avoir fait avant lui est Pie XII dans Sacro vergente anno du 7 juillet 1952. Mais il ne fit qu’envoyer une lettre apostolique aux évêques de Russie. Et à l’époque, le texte ne fit pas grand bruit. Voici l’avis de Mgr Schneider sur ce point : Par rapport à la formulation des deux actes de consécration précédents, faits par le pape Pie XII (en 1952) et par le pape Jean-Paul II (en 1984), les mots et la forme de la consécration qui seront utilisés par le pape François le 25 mars expriment plus clairement les demandes de Notre Dame de Fatima. Le Pape François a même ajouté le mot "solennellement" à "consacrer", une expression qui manque dans les formules de 1952 et 1984 : … en union avec de nombreux évêques …En outre, François demanda clairement à tous les évêques de participer. Dans la lettre du 21 mars, il est dit : Je vous invite donc à vous unir à cet acte, en convoquant, dans la journée du vendredi 25 mars, les prêtres, les religieux et les autres fidèles à la prière communautaire dans les lieux sacrés, afin que le saint peuple de Dieu fasse monter vers sa Mère la supplique, unanime et pressante. Avant même de recevoir cette demande, le CELAM annonça sa participation le 15 mars et l’USCCB le 17. La lettre de François provoqua une grande mobilisation : outre ceux du CELAM et de l’USCCB, une grande partie des évêques du monde organisèrent des cérémonies dans leur diocèse et demandèrent aux paroisses et communautés religieuses de faire de même. En France, sur les 91 évêques en poste, Jeanne Smits en dénombra 83, soit 90%, qui répondirent favorablement. Jean-Paul II en 1984 ne réussit pas à obtenir une telle réponse. La consécration du 25 mars dernier est donc un acte historique, car c’est la première fois qu’une consécration va aussi loin dans la satisfaction des demandes de Notre-Dame. … mais étonnement minimaliste ...À côté de ces points éminemment positifs, d’autres furent plus regrettables. Tout d’abord, la consécration elle-même fut d’une sobriété surprenante, voire choquante. En effet, elle fut précédée par une célébration pénitentielle d’une heure et demie, au cours de laquelle il ne fut jamais question de cette consécration. Après trois lectures suivies d’une homélie d’un quart d’heure sur l’Annonciation, le pardon et le sacrement de pénitence, le pape partit se confesser, puis, avec de nombreux prêtres, confessa durant un peu plus d’une demi-heure, pendant que le chant de la chorale alternait avec des pièces d’orgue. La cérémonie s’acheva à 18h30 par une prière d’action de grâce et une bénédiction. Ensuite, sans transition, le pape rejoignit le centre du chœur où avait été placée une statue de Notre-Dame de Fatima. Il s’assit, prononça l’acte de consécration envoyé trois jours plutôt, déposa aux pieds de la Sainte Vierge une gerbe de fleurs apportée par deux enfants, puis, après avoir encensé la statue, quitta la basilique pendant que l’assemblée chantait un chant à la Sainte Vierge : la cérémonie de la consécration avait duré moins d’un quart d’heure ! Il était difficile de faire moins et on était loin de la solennité annoncée. Cette brièveté fut renforcée par la longueur de la célébration qui précéda, donnant la pénible impression que la consécration était faite à contre-cœur. La grâce si attendue d’une paix générale dans le monde ne méritait-elle pas une véritable cérémonie dont la consécration aurait été le centre, avec instruction préalable sur le sens de cette consécration et sa raison d’être, entourée par la récitation du chapelet, demande si insistante de Notre-Dame à Fatima ? De plus, pendant la consécration, François resta seul au milieu du chœur : pas un cardinal ou évêque ne vint l’entourer pour réciter la prière avec lui, manifestant ainsi l’union de tous les évêques. De plus, il resta assis tout le temps. Certes, son genou ne lui permettait pas de s’agenouiller. Mais, n’aurait-il pas pu se lever, au moins pour prononcer la phrase de consécration ? Il se leva bien pour la lecture de l’Évangile au début de la cérémonie pénitentielle. Toutefois, nous ne devons pas préjuger des intentions réelles qui l’animèrent. De plus, Benoît XVI, depuis la chapelle de sa résidence au Vatican, récita la prière de consécration en union avec François et les évêques participants. On ne peut donc nier que d’une façon ou d’une autre, par le pape en exercice ou par le pape émérite, le Saint-Père a fait cette consécration. … et ne répondant pas exactement aux demandes du CielOutre cette cérémonie minimaliste, sur plusieurs points, l’acte du 25 mars dernier ne répond pas exactement aux demandes de Notre-Seigneur et Notre-Dame. Tous ces points ont été analysés dans la lettre de liaison n° 133. Rappelons-en les défauts tout en essayant charitablement de les nuancer le plus possible. Tout d’abord, il est regrettable qu’il n’ait jamais été fait mention de Fatima, ni dit que cette consécration était une réponse à la demande de Notre-Dame. Cependant, l’acte a été clairement une réponse à la demande des évêques ukrainiens, lesquels ont demandé une consécration conforme à la demande de Notre-Dame à Fatima. Aussi, la réponse du Saint-Siège est-elle, au moins implicitement, une réponse à cette demande de Notre-Dame. Ensuite, la Russie n’est pas la seule à avoir été nommée. Et il est vrai que, toute sa vie, sœur Lucie a affirmé que, de par la volonté de Notre-Seigneur, seule la Russie devait être mentionnée. (Voir lettre de liaison n° 133) Toutefois, la Russie et l’Ukraine sont des territoires bien circonscrits dont il sera possible de constater la conversion, même si cela ne sera pas possible pour ce qui concerne l’Église et le monde. Or nul doute que le jour où la Russie et l’Ukraine reviendront dans le sein de l’Église catholique, ce retour sera vu comme un fruit de la consécration du 25 mars et donc comme une victoire du Cœur Immaculé de Marie, ce qui était précisément la demande de Notre-Seigneur qui a dit à sœur Lucie en 1936 : « Je veux que toute mon Église reconnaisse cette consécration comme un triomphe du Cœur Immaculé de Marie » (voir lettre de liaison n° 134) Ensuite, il n’y a pas vraiment eu d’acte de réparation. La prière commence bien par une demande de pardon, mais elle ne mentionne ni les offenses envers Notre-Seigneur et Notre-Dame, ni les péchés commis suite aux erreurs répandues par la Russie. Toutefois, on ne peut dénier une certaine valeur à la demande de pardon de la prière proposée par le Saint-Siège. Espérons que Dieu dans sa miséricorde l’acceptera comme répondant à l’acte de réparation demandé. Enfin, il n’est fait aucune allusion à la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois. Aussi, en l’état, malgré l’union d’un grand nombre d’évêques et le fait que la Russie soit expressément nommée, l’acte ne répond qu’imparfaitement à la demande faite par Notre-Dame et Notre-Seigneur en 1929 et 1930. Les fruits à en attendreDès lors, quels fruits pouvons-nous attendre de cette consécration ? Si elle ne satisfait pas toutes les conditions de la consécration complète, elle est malgré tout plus complète que celles qui ont été faites jusqu’à présent. De plus, elle répond complètement à la consécration réduite demandée par Notre-Seigneur, qui avait confié à sœur Lucie, peu avant 1940, qu’Il se contenterait d’une « consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie par le pape, avec une mention spéciale de la Russie ». Aussi en recevrons-nous sûrement des grâces à la mesure de celles qui furent obtenues après les consécrations de 1942 et 1984. En effet, après la consécration de 1942 par Pie XII, sœur Lucie confia à son confesseur : « Il [Notre-Seigneur] promet la fin de la guerre pour bientôt, eu égard à l’acte qu’a daigné faire Sa Sainteté. Mais comme il fut incomplet, la conversion de la Russie sera pour plus tard ». Et peu après eut lieu le spectaculaire retournement de la guerre, ceci bien que l’acte fût incomplet. Dans l’acte de 1982, même si ce n’était pas vraiment une consécration au Cœur Immaculé de Marie, Jean-Paul II affirma clairement qu’il voulait refaire ce qu’avait fait Pie XII. C’est pourquoi, un an après cet acte, sœur Lucie déclara à Mgr Sante Portalupi : « De cette consécration du monde, nous pouvons attendre quelques avantages, mais pas la conversion de la Russie. » Jean-Paul II renouvela cet acte le 25 mars 1984, après avoir demandé aux évêques de s’unir à lui. L’avis de sœur Lucie vaut donc pour la consécration de 1984 comme pour celle de 1982. Et moins de deux mois après eut lieu l’explosion de la base de Severomorsk (voir lettre de liaison n° 134), évitant ainsi le très probable déclenchement d’une guerre, puis cinq ans plus tard, la chute du mur de Berlin. En conséquence, de l’acte du 25 mars dernier, nous pouvons espérer une grâce analogue, à savoir la fin de la guerre en Ukraine. Malheureusement, comme l’acte est malgré tout incomplet, nous pouvons ajouter : « La consécration de la Russie n’est pas pour maintenant », conclusion exprimée par sœur Lucie aussi bien après la consécration de 1942 que de celle de 1982. Et hélas, nous pouvons aussi ajouter : « L’Occident continuera à répandre ses erreurs dans le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. » Que faire ?Pour cela, il faut corriger autant que nous le pouvons, les imperfections de l’acte du 25 mars. Concernant la consécration de la seule Russie, nous ne pouvons pas faire grand-chose. Espérons que, comme il a été dit précédemment, le fait d’avoir clairement nommé la Russie et l’Ukraine, l’acte du 25 mars sera accepté comme répondant à la demande de Notre-Dame. En effet, dans un entretien accordé à OnePeter5 le 21 mars, Mgr Schneider a affirmé que cette approbation pouvait venir plus tard : À mon avis, l'approbation de la pratique de la communion de réparation des premiers samedis ne doit pas nécessairement être incluse explicitement dans la formule de consécration. L'approbation papale pourrait aussi se manifester, par exemple, dans un décret de la Pénitencerie Apostolique, disant que les fidèles qui pratiquent la communion de réparation les cinq premiers samedis obtiendront une indulgence plénière. Un tel décret indique généralement qu'il a été approuvé par le Saint-Père. Deux jours plus tard, dans un entretien complémentaire, il précisa : « La Vierge n'a pas dit que l'approbation papale de la communion réparatrice des premiers samedis devait faire partie de la formule de consécration. Elle a demandé l'approbation papale de cette pratique uniquement en vue d'obtenir les fruits qu'elle a promis par l'acte de consécration. » Il est exact que rien n’oblige à tout faire en même temps. Mais quoi qu’il en soit, et Mgr Schneider le rappelle clairement, les fruits de la consécration complète sont conditionnés par l’approbation papale. Alors pourquoi attendre pour la donner ? Voilà près de cent ans que le Ciel attend que cette dévotion se répande dans le monde. Tant que cette demande ne sera pas satisfaite, la Russie ne se convertira pas et le mondialisme continuera à progresser provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Et c’est là où nous pouvons intervenir. En effet, concernant la consécration, le père Alonso disait : La consécration de la Russie n'arrivera que comme le fruit de la consécration généralisée et intense de tous les membres et de toutes les collectivités de l'Église. Or effectivement, celle-ci n’eut lieu qu’après la consécration de nombreux pays au Cœur Immaculé de Marie en 2020, au début de la crise covidienne, ce qui est une confirmation de l’avis du père Alonso. Il en va sûrement de même pour les premiers samedis du mois. Aussi peut-on dire, en paraphrasant le père Alonso : Et Mgr Schneider nous pousse clairement dans ce sens. En effet, dans l’entretien qu’il accorda le 21 mars à OnePeter5, après avoir précisé la réelle portée de l’acte du 25 mars, il dit substantiellement la même chose : L'effet de l'acte de consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie, même accompli de manière parfaite selon la demande de Notre-Dame, ne doit pas être compris comme s'il s'agissait d'un sacrement, dont l'effet vient à partir de sa célébration valide (ex opere operato). Un acte de consécration, théologiquement parlant, est un sacramentel (sacramentale), dont l'effet dépend principalement de la prière d'impétration de l'Église (ex opere operantis ecclesiae). La théologie catholique précise que les sacramentaux (sacramentalia) ne produisent pas la grâce mais y préparent. Un acte de consécration n'a pas d'effet automatique, immédiat, spectaculaire ou sensationnel. Dieu, dans sa Providence souveraine, sage et mystérieuse, se réserve le droit de déterminer le temps et la manière de réaliser les effets d'une consécration. (…) Notre tâche est de faire ce que la Mère de Dieu a dit ; le reste est à la Providence de déterminer selon des temps et des voies qui ne nous sont pas encore connus. « Notre tâche est de faire ce que la Mère de Dieu a dit » ! Il faut donc, qu’à la faveur du mouvement né de cette consécration inespérée, naisse dans toute l’Église un grand mouvement pour embrasser la dévotion réparatrice des premiers samedis du mois. À ce prix-là seulement, la Russie se convertira, l’Occident cessera de répandre des erreurs dans le monde, le monde aura la paix et nous verrons le triomphe du Cœur Immaculé de Marie. De tels fruits ne valent-ils pas de consacrer deux heures une fois par mois pour faire ce qu’a demandé la Sainte Vierge ? Non seulement nous obtiendrons la paix dans le monde, mais à ceux qui feront cette communion réparatrice cinq fois de suite, Notre-Dame a promis en plus « de les assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme » (révélation du 10 décembre 1925). Et un peu plus tard, Notre-Seigneur confia à sœur Lucie « qu’Il promettait de sauver ceux qui pratiqueront la dévotion réparatrice avec l’intention de faire réparation au Cœur Immaculé de notre très Sainte Mère » (révélation de juin 1930). En 1957, sœur Lucie confia au père Fuèntes : « Père, n’attendons pas que vienne de Rome un appel à la pénitence de la part du Saint-Père pour le monde entier ; n’attendons pas non plus qu’il vienne de nos évêques dans leur diocèse, ni non plus des congrégations religieuses. » Ce qu’elle a dit de la pénitence s’applique aussi à la communion réparatrice des premiers samedis du mois. Donc, n’attendons pas une décision de Rome pour la pratiquer, ce d’autant plus qu’au moins un évêque nous y incite déjà. Alors que désormais, chaque premier samedi du mois soit pour chacun d’entre nous comme une fête d’obligation, en particulier après-demain. En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie. [1] Les documents des papes approuvant le Rosaire n’ont pas fixé les sujets des mystères (voir lettre de liaison n° 111) : pour les mystères douloureux, il est simplement demandé de méditer sur la Passion de Jésus. C’est pourquoi, pour le 2e mystère douloureux, il est possible de méditer sur les événements qui se sont produits entre l’arrestation au jardin des oliviers et la flagellation. Si vous préférez méditer sur la flagellation, vous pouvez choisir une des méditations déjà publiées. Pour y accéder, dans le menu de droite, cliquer sur : Le 1er samedi du mois / Méditations. – Dans le tableau qui s’affiche, cliquez sur la méditation de votre choix.
|
||||||
www.fatima100.fr | Contact | ||||||
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies ou autres traceurs pour vous proposer des services ou réaliser des statistiques de visites.