Liste & thèmes des lettres de liaison
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Samedi prochain, 7 septembre 2024 : 1er samedi du mois
N’oublions pas de réciter un acte de réparation ce jour-là.
Mystère à méditer |
3e mystère douloureux : Le couronnement d'épines |
Blasphèmes à réparer |
Les blasphèmes contre la maternité de la Très Sainte Vierge |
Lettre de liaison n° 165 (5 septembre 2024)
Avant de poursuivre nos réflexions sur le message de Fatima, deux points de la dernière lettre de liaison demandent à être précisés ou corrigés.
Réaction épiscopale à la cérémonie d’ouverture des JO
Au moins un évêque français a réagi suite au scandale de la cérémonie d’ouverture des JO : Mgr François Jacolin, évêque de Luçon en Vendée, qui a publié un communiqué clair et courageux. Cliquer ICI pour voir son communiqué. Que Mgr Jacolin soit remercié d’avoir ainsi réagi en pasteur devant cet horrible blasphème.
La réparation, condition nécessaire pour obtenir le pardon de Dieu
Dans le paragraphe sur le pardon de Dieu, il était rappelé les dispositions nécessaires pour bien se confesser : « Pour obtenir le pardon Dieu, il faut reconnaître nos fautes, demander sincèrement pardon et s’engager à ne plus les commettre. » Un ami prêtre nous a fait remarquer que, pour être complet, il faut ajouter “la volonté de réparer et la réparation effective, au moins selon nos forces et nos possibilités”. C’est effectivement un point important et malheureusement souvent négligé de nos jours. En effet, le sacrement de pénitence comprend quatre étapes :
- la contrition (dont la ferme volonté de ne pas recommencer et de prendre les moyens pour cela),
- l’accusation (ou aveu de ses fautes),
- l’absolution (donnée par le prêtre),
- enfin la réparation.
Pour obtenir le pardon divin, la ferme volonté de ne pas recommencer ne suffit pas : après l’absolution, il faut aussi réparer, dans toute la mesure du possible, le mal commis, notamment le tort fait à autrui.
C’est d’ailleurs tout le sens du message de Fatima : Notre-Dame nous demande de prier et de faire des sacrifices pour réparer les offenses commises par les pécheurs ; elle demande la communion réparatrice du premier samedi du mois pour réparer les offenses faites à Dieu suite aux “erreurs de la Russie” répandues dans le monde. Bien sûr, nous ne pouvons par réparer complètement ces offenses nous-même ; mais nous pouvons participer à cette réparation en accomplissant ce que demande Notre-Dame. Il en va de même pour les fautes que nous ou notre prochain, nous commettons. C’est pourquoi, après une absolution, le confesseur nous donne une pénitence à accomplir.
Revenons maintenant au message de Fatima. Après la demande pardon (« Ô mon Jésus, pardonnez-nous. » – Voir précédente lettre de liaison), la deuxième prière enseignée par Notre-Dame se poursuit ainsi : « Préservez-nous du feu de l’enfer. Conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui en ont le plus besoin. »
« Préservez-nous du feu de l’enfer. »
Pour la deuxième fois, en ce 13 juillet 1917, Notre-Dame parle de l’enfer. En effet, après avoir montré l’enfer aux petits voyants, elle leur a dit : « Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. »
Ici, dans la deuxième prière qu’elle leur enseigne, Notre-Dame nous demande de prier pour que nous-même, nous soyons préservés de l’enfer. Et elle nous demande de réciter cette courte prière après chaque dizaine de chapelet : « Quand vous réciterez le chapelet, dites après chaque mystère : … » Ceux qui récitent le chapelet tous les jours (comme le demande Notre-Dame) font donc cette demande 5 fois par jour ! Si Notre-Dame nous demande de réciter cette prière 5 fois par jour, c’est que l’enfer n’est pas un danger imaginaire et lointain auquel nous pourrions échapper sans effort. Nous devons donc y réfléchir sérieusement, et au moins à chaque dizaine de chapelet que nous récitons. Notre-Dame nous montre ainsi la crainte que nous devons avoir de tomber en enfer. Le saint curé d’Ars craignait pour son salut. Et nous ?
Les petits voyants, eux, ne cessaient de méditer sur l’enfer. Nous avons vu dans la lettre de liaison n° 159 combien ils prirent au sérieux cette demande de Notre-Dame, tout particulièrement Jacinthe dont la grande sensibilité lui valut d’avoir une perception plus profonde du message de Fatima. Nous engageons vivement nos lecteurs à relire les passages des mémoires de sœur Lucie que nous citions pour bien s’en imprégner.
Par la suite, sœur Lucie ne manqua pas de rappeler régulièrement l’avertissement de Notre-Dame. Par exemple, le 3 octobre 1928, elle écrivit à l’évêque de Leiria :
Le bon Dieu, dans son infinie miséricorde, se plaint de ne pouvoir supporter plus longtemps les offenses qui se commettent contre l’Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge. Il dit qu’à cause de ce péché, un grand nombre d’âmes tombent en enfer, et il promet de les sauver, dans la mesure où l’on pratiquera la dévotion suivante [les cinq premiers samedis du mois], avec l’intention de faire réparation au Cœur Immaculé de notre très Sainte Mère.
Ainsi par l’intermédiaire de sa sainte Mère, Dieu rappelle à ceux qui auraient tendance à l’oublier que tout le monde ne va pas au Ciel : les pécheurs impénitents vont en enfer et la Sainte Vierge l’a montré aux petits voyants. Malgré cela, certains ont du mal croire que la Sainte Vierge ait pu leur montrer l’enfer. Notre-Dame n’a pourtant fait que confirmer un enseignement constant de son Fils et de l’Église.
Un enseignement constant de l’Église
Car l’enfer existe et c’est la terrible condamnation de ceux qui meurent en état de péché mortel. L’Église a toujours enseigné que l’enfer est un dogme de foi : nul ne peut se dire catholique s’il pense que l’enfer n’existe pas ou est vide. (Voir lettre de liaison n° 159). Mgr de Ségur, dans un petit livre intitulé L’enferL’enfer, ouvrage approuvé par un bref du pape Pie IX, tout en rappelant la doctrine de l’Église sur ce point, rapporte de nombreux faits prouvant l’existence de l’enfer. En voici un particulièrement saisissant :
Dans la vie de saint Bruno, fondateur des chartreux, on trouve un fait étudié à fond par les très doctes Bollandistes et qui présente à la critique la plus sérieuse tous les caractères historiques de l’authenticité ; un fait arrivé à Paris, en plein jour, en présence de plusieurs milliers de témoins, dont les détails ont été recueillis par des contemporains et enfin qui a donné naissance à un grand ordre religieux.
Un célèbre docteur de l’Université de Paris, nommé Raymond Diocrès, venait de mourir, emportant l’admiration universelle et les regrets de tous ses élèves. C’était en l’année 1082. Un des plus savants docteurs du temps, connu dans toute l’Europe par sa science, ses talents et ses vertus, et nommé Bruno, était alors à Paris avec quatre compagnons, et se fit un devoir d’assister aux obsèques de l’illustre défunt.
On avait déposé le corps dans la grande salle de la chancellerie, proche de l’église de Notre-Dame, et une foule immense entourait le lit de parade où, selon l’usage du temps, le mort était exposé, couvert, d’un simple voile. Au moment où l’on vint à lire une des leçons de l’Office des morts qui commence ainsi : « Réponds- moi. Combien grandes et nombreuses sont tes iniquités », une voix sépulcrale sortit de dessous le voile funèbre, et toute l’assistance entendit ces paroles : « Par un juste jugement de Dieu, j’ai été accusé ». On se précipite ; on lève le drap mortuaire : le pauvre mort était là, immobile, glacé, parfaitement mort. La cérémonie, un instant interrompue, fut bientôt reprise ; tous les assistants étaient dans la stupeur et pénétrés de crainte.
On reprend donc l’office ; on arrive à la susdite leçon « Réponds-moi ». Cette fois, à la vue de tout le monde, le mort se soulève, et d’une voix plus forte, plus accentuée encore, il dit : « Par un juste jugement de Dieu, j’ai été jugé », et il retombe. La terreur de l’auditoire est à son comble. Des médecins constatent de nouveau la mort. La cadavre était froid et rigide. On n’eut pas le courage de continuer, et l’office fut remis au lendemain.
Les autorités ecclésiastiques ne savaient que résoudre. Les uns disaient : « C’est un réprouvé ; il est indigne des prières de l’Église ». D’autres disaient : « Non, tout cela est sans doute fort effrayant ; mais enfin, tous tant que nous sommes, ne serons-nous pas accusés d’abord, puis jugés par un juste jugement de Dieu ? » L’évêque fut de cet avis et, le lendemain, le service funèbre recommença à la même heure. Bruno et ses compagnons étaient là comme la veille. Toute l’université, tout Paris était accouru à Notre-Dame.
L’office recommence donc. À la même leçon : « Réponds-moi », le corps du docteur Raymond se dresse sur son séant, et avec un accent indescriptible qui glace d’épouvante tous les assistants, il s’écrie : « Par un juste jugement de Dieu, j’ai été condamné », et retombe immobile. Cette fois, il n’y avait plus à douter. Le terrible prodige constaté jusqu’à l’évidence n’était pas même discutable. Par ordre de l’évêque du chapitre, on dépouille, séance tenante, le cadavre des insignes de ses dignités et on l’emporte à la voirie de Montfaucon.
Au sortir de la grande salle de la chancellerie, Bruno, âgé alors d’environ quarante-cinq ans, se décida irrévocablement à quitter le monde et alla chercher, avec ses compagnons, dans les solitudes de la Grande-Chartreuse, près de Grenoble, une retraite où il pût faire plus sûrement son salut et se préparer ainsi à loisir aux justes jugements de Dieu.
Donc l’enfer existe. Et ceux qui en doute devraient lire le petit livre de Mgr de Ségur (on peut le lire en ligne à l’adresse suivante : https://laportelatine.org/actualite/lenfer. Aller tout en bas de la page.)
Mais cette pensée de l’enfer ne doit pas nous désespérer. Car ne vont en enfer que ceux qui veulent y aller. Il suffit parfois d’un regard ou d’une parole vers Jésus ou Marie pour être sauvé, quelles que soient les fautes commises. De nombreuses fois, Jésus remit leurs péchés à ceux qui venaient Lui demander sa miséricorde. Mais, à chaque fois, Il leur recommandait de ne plus pécher. « Va et ne pèche plus ! » dit-Il à la femme adultère. Le bon larron fut même sauvé au tout dernier moment, malgré ses crimes, simplement pour avoir dit : « Seigneur, souvenez-vous de moi quand vous reviendrez dans l’éclat de votre gloire. » Et Jésus lui répondit : « En vérité, je te le dis : aujourd’hui même, tu seras avec moi dans le paradis. » La Miséricorde de Dieu est immense : il ne tient qu’à nous de l’accepter ou de la refuser.
De plus, Dieu ne nous éprouve jamais au-dessus de nos forces et nous accorde toujours les grâces nécessaires pour éviter le mal afin de ne pas mériter l’enfer et de parvenir au Paradis. Toutefois, Il nous laisse libres d’accepter ou non sa grâce. Celui qui refuse sait qu’il perdra le paradis pour l’enfer. Il le veut ainsi, librement. On ne peut pas reprocher à Dieu de ne pas respecter la liberté de l’homme. Quelle folie de renoncer à Dieu, de perdre le paradis, pour se précipiter dans les horreurs de la demeure des démons ! La vision béatifique de Dieu, l’union à Jésus et à la Sainte Vierge, la compagnie des Anges et des Saints, … la perte de tous ces biens infinis constitue la peine des damés, la peine la plus horrible que l’on puisse imaginer.
Pour éviter cette terrible issue, une des grâces que Dieu nous accorde est la crainte de l’enfer. En effet, les saints et les prédicateurs enseignent qu’il y a trois voies de salut : la crainte de l’enfer, l’espérance du Paradis et l’amour de Dieu. Cette dernière est la plus noble et la plus préférable. Mais aucune n’est à dédaigner ; toutes les trois sont d’une grande valeur puisque, en finale, chacune nous conduit à la conversion et donc à Dieu. Les prédicateurs savent aussi, hélas, qu’à cause de l’aveuglement dû au péché originel et de la dureté de notre cœur, le premier moyen est souvent le seul capable de nous émouvoir. C’est pourquoi la Sainte Vierge n’a pas hésité à montrer l’enfer aux petits voyants. Mais il ne tient qu’à nous d’aller à Dieu par le second ou, mieux, le troisième.
Il n’y a donc pas que la crainte de l’enfer pour nous détourner du mal. En particulier, Dieu, par l’intermédiaire de sa sainte Mère, nous offre d’autres moyens.
Les moyens de salut
En effet, en ce 13 juillet 1917, Notre-Dame donne plusieurs moyens pour nous sauver et sauver les pécheurs.
En premier lieu, avant de parler de l’enfer aux trois petits enfants, elle commence par leur apprendre une prière pour sauver les pécheurs, à réciter en offrant un sacrifice : « Ô mon Jésus, c’est par amour pour Vous, pour la conversion des pécheurs, en réparation des péchés commis contre le Cœur Immaculé de Marie. »
Puis après leur avoir montré l’enfer, elle leur donne un autre moyen pour les sauver : « Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes se sauveront et l’on aura la paix. »
Enfin, après leur avoir confié le secret, elle leur donne un troisième moyen : une courte prière dans laquelle elle nous fait demander à Dieu de nous éviter l’enfer.
Admirons au passage combien Notre-Dame agit avec délicatesse et pédagogie : avant et après la vision de l’enfer, elle leur donne des moyens de l’éviter. De cette façon, la vision n’est pas désespérante, car elle donne les moyens pour sauver les pécheurs, permettant aux trois petits enfants de supporter la dure réalité de l’enfer.
Ainsi, dans son immense bonté, Dieu nous offre un moyen facile d’éviter l’enfer : la dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Ce moyen n’est pas nouveau. Déjà, saint Jean Chrysostome disait : « La miséricorde immense de Marie sauve un grand nombre de malheureux qui, selon les lois de la divine justice devraient être damnés ». La courte prière à réciter après chaque dizaine de chapelet est donc une grande grâce.
« Conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui en ont le plus besoin ».
Lorsque cette prière commença à être connue, elles fut souvent comprise comme concernant les âmes du purgatoire. Le mot utilisé en portugais est “alminhas”, les âmes, sans précision supplémentaire. Mais il s’agit bien des âmes des pécheurs et non pas des âmes du purgatoire. Voici le dialogue qu’eut le chanoine Barthas avec sœur Lucie à ce sujet :
Je me permis de demander à sœur Lucie de préciser le sens du mot “alminhas” :
— Dans ces âmes qui ont besoin du secours divin, lui dis-je, faut-il voir les âmes du purgatoire ou bien celles des pécheurs ?
— Dos peccadores [des pécheurs], répondit-elle sans hésiter.
— Pourquoi le pensez-vous ?
— Parce que la Sainte Vierge nous a toujours parlé des âmes des pécheurs. Elle ne nous a jamais parlé des âmes du purgatoire.
— Pour quelle raison, à votre avis, Notre-Dame vous a-t-elle particulièrement intéressés aux âmes des pécheurs plutôt qu’à celles du purgatoire ?
— Sans doute parce que les âmes du purgatoire sont déjà sauvées, se trouvant comme dans le vestibule du Ciel, tandis que les âmes des pécheurs sont sur les pentes qui conduisent à la damnation.
Et le 18 mai 1941, sœur Lucie écrivit au père Gonçalvès : « Je crois que Notre-Dame voulait parler des âmes qui se trouvent en plus grand péril de damnation. » Ceci est parfaitement logique, car à Fatima, Notre-Dame est venue essentiellement pour nous rappeler l’urgente nécessité de prier pour le salut des pécheurs.
Nous devons donc prier surtout pour les âmes en danger de se perdre définitivement, autrement dit de se damner. C’est le sens de la fin de la phrase : « surtout celles qui en ont le plus besoin ». Ces mots en ont surpris plus d’un. Ils peuvent surprendre en effet. Comment vouloir le salut de toutes les âmes sans exception tout en ajoutant une formule restrictive ? C’est la logique de l’amour. L’âme suppliante voudrait obtenir de la miséricorde divine le salut de toutes les âmes. Mais elle sait que ses propres mérites sont très insuffisants pour obtenir cette grâce. Alors, elle demande d’appliquer les quelques mérites qu’elle a à ceux qui en ont le plus besoin. Admirable logique des saints ! C’est l’exemple de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus qui, en priant de toute son âme pour Pranzini, auteur de trois horribles meurtres, obtint sa conversion quelques instants avant son exécution.
On comprend dès lors le souci de Notre-Dame de nous expliquer dans le détail l’urgente nécessité d’une part de prier pour les pécheurs, pour qu’ils se convertissent et ainsi évitent l’enfer, d’autre part d’offrir les quelques mérites que nous pouvons gagner pour les âmes qui sont en plus grand danger de se damner, afin qu’au dernier moment, comme pour le bon Larron ou pour Pranzini, la grâce les frappe et permette que leurs dernières pensées avant de quitter ce monde soient pour implorer la miséricorde divine. Rappelons cette parole d’un possédé que saint Dominique exorcisait (déjà citée dans de précédentes lettres de liaison). Les démons qui l’habitaient avouèrent : « Aucun de ceux qui persévèrent dans la dévotion à Marie et au saint Rosaire ne vont en enfer, car la Sainte Vierge obtient aux pécheurs avant leur mort, un véritable repentir. »
Un jour saint Clément Hofbauer, apôtre de Vienne, rendit visite à un moribond incroyant et fut accueilli par des insultes. « Vas-t-en au diable, Frère !... Pourquoi tu ne t’en vas pas ? — Parce que je veux voir comment meurt un damné ! » répondit le saint. Ces paroles frappèrent le moribond et le rendirent muet d’étonnement. Saint Clément invoqua alors la Sainte Vierge avec ardeur. Quelques instants après, le moribond se mit à sangloter ; puis il dit : « Père, pardonnez-moi. Approchez-vous. » Il se confessa en pleurant et mourut en invoquant Marie, “Refuge des pécheurs”. Notre-Dame est donc très puissante pour nous éviter l’enfer. Et c’est ce qu’elle est venue nous rappeler à Fatima.
Aussi, demandons à Notre-Dame de nous accorder les lumières nécessaires pour bien comprendre ce qu’est l’enfer. Invoquons-la souvent afin qu’elle nous vienne en aide chaque jour de notre vie pour nous guider et ainsi nous éviter l’enfer. Et récitons notre chapelet tous les jours pour demander pardon, pour nous-même d’abord, pour les pécheurs ensuite, afin qu’eux comme nous, nous suivions docilement les demandes de Notre-Dame et ainsi évitions l’enfer. Enfin n’omettons jamais après chaque dizaine de demander à Dieu de préserver de l’enfer, nous-même et les pécheurs, surtout ceux qui sont en plus grand danger de se damner.
En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie
Yves de Lassus