Samedi prochain, 3 mai 2025 : 1er samedi du mois
N’oublions pas de réciter un acte de réparation ce jour-là.
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Les blasphèmes contre l'Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge |
Lettre de liaison n° 173 (30 avril 2025)
Chers amis,
Nous avons achevé les réflexions sur le message de Fatima révélé par l’Ange et Notre-Dame en 1916 et 1917, réflexions commencées avec la lettre de liaison n° 123 de juillet 2021. Depuis, quelques lettres ont traité de sujets plus d’actualité, mais la plupart ont été consacrées à comprendre et méditer le message que Notre-Dame confia aux trois petits voyants de Fatima et qu’ensuite Lucie a révélé, notamment dans ses mémoires.
Ce qui frappe dans ce message, c’est sa très grande richesse malgré sa brièveté. Et ce que nous en avons dit n’est pas grand-chose à côté de tout ce qu’il aurait été possible de dire. Comme l’Évangile, les paroles de Notre-Dame sont inépuisables. À chacun de nous de poursuivre notre propre réflexion pour approfondir encore la connaissance ce message et se l’approprier de plus en plus.
En outre, l’histoire de Fatima ne se termine pas le 13 octobre 1917 avec le grand miracle du soleil. Après cette date, Lucie reçut d’autres communications célestes qu’il convient également d’analyser, car elles complètent et aident à mieux comprendre le message initial de 1916 et 1917.
Les premières années après les apparitions de 1917
François mourut de grippe espagnole, le 4 avril 1919, moins de deux ans après les apparitions. Il ne révéla jamais rien du secret. Il se retrancha toujours derrière le fait qu’il n’avait pas entendu les paroles de la Sainte Vierge pour renvoyer les questions à sa sœur ou à sa cousine.
Moins d’un an plus tard, le 20 février 1920, Jacinthe mourut à son tour. Au cours de la maladie qui l’emporta, elle fit de nombreuses confidences, évoquant plusieurs thèmes liés au secret : prophéties de guerres et de châtiments, pensée lancinante de l’enfer, nécessité de réparer. Mais, comme son frère, elle ne révéla jamais rien du secret. Aussi, après sa mort, la seule à connaître les paroles prononcées par Notre-Dame à Fatima est la petite Lucie qui n’a alors que 13 ans.
Peu après, le 5 août 1920, Monseigneur José Alvès Correia da Silva fut nommé évêque de Leiria, diocèse dont dépendait Fatima. Il eut à cœur de s’occuper très rapidement de l’affaire de Fatima. Et moins d’un an après sa prise de fonction, le 13 juin 1921, il rencontra Lucie. Durant l’entretien, il ne chercha pas à connaître le contenu du secret et demanda même à la voyante de le conserver pour elle. Il lui proposa d’aller en pension, loin de Fatima. Malgré le déchirement de devoir se séparer de sa famille, elle accepta d’obéir à son évêque, y voyant la volonté de Dieu. Trois jours plus tard, elle quitta définitivement Aljustrel, le petit village où habitait sa famille, pour aller en pension à l’Asilo de Vilar, un collège des sœurs Dorothées près de Porto.
La veille de son départ, le 15 juin 1921, elle se rendit discrètement à la Cova da Iria pour y réciter un dernier rosaire. La Sainte Vierge lui fit la grâce d’apparaître une nouvelle fois. Sœur Lucie ne mentionne pas cette apparition dans ses mémoires, mais elle la raconta au chanoine Galamba qui relate ainsi l’évènement :
Elle me raconta comment le jour de ses adieux à la Cova da Iria et de son départ pour Porto, elle avait vu une nouvelle fois Notre-Dame, au bas de la petite pente où se dresse le perron en face de l’Église.
Dans les cahiers qu’elle tenait à la demande de ses confesseurs, voici comment elle rapporte l’événement :
Une nouvelle fois tu es descendue sur terre et c'est alors que j'ai senti ta main amicale et maternelle me toucher l’épaule ; j'ai levé les yeux et je t'ai vue, c'était toi, la Sainte Mère qui me tenait la main et me montrait le chemin ; tes lèvres se sont ouvertes et le doux timbre de ta voix a rendu à mon âme la lumière et la paix : « Me voici pour la septième fois. Va, suis le chemin où Monseigneur l’Évêque veut te conduire, c'est la volonté de Dieu. »
J'ai alors répété mon Oui, beaucoup plus consciemment que le 13 mai 1917.
En effet, lors de sa première apparition en 1917, la Sainte Vierge avait dit à Lucie : « Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13 du mois, à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après, je reviendrai encore ici une septième fois. »
Et à la fin de l’apparition, elle avait demandé à Lucie : « Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ? » Lucie avait répondu : « Oui, nous le voulons. » Notre-Dame lui avait alors dit : « Vous aurez beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu sera votre réconfort. »
Sur demande de Monseigneur da Silva, Lucie changea de nom pour ne pas être reconnue et prit celui de Maria das Dores (Marie des Douleurs). Pendant quatre ans, de 1921 à 1925, elle mena à l’Asilo de Vilar la vie tranquille d’une interne d’un collège catholique : elle y apprit à coudre, à broder, à taper à la machine, à faire la cuisine, le ménage, etc.
Peu après son arrivée à Porto, le 6 février 1922, un nouveau pape fut élu et prit le nom de Pie XI. Or, à cette date, aucun élément du secret n’avait été révélé à qui que soit. Une prophétie supplémentaire se réalisait. Quelle ne dut pas être la joie de sœur Lucie et sa foi en apprenant le nom de ce nouveau pape !
L’année suivante, elle fut admise dans la confrérie des Filles de Marie. Le jour de son admission, elle eut une nouvelle apparition de la Sainte Vierge. Voici comment elle rapporta l’événement au père Gonçalvès, quelques années plus tard, le 24 avril 1941.
Après six ans de vraies épreuves (depuis 1917), ce fut ce jour-ci, le 26 août 1923, la première fois que Notre-Dame revint me rendre visite. Ce fut mon entrée comme Fille de Marie. Elle me dit qu’elle acceptait d’être ma vraie mère du Ciel, du fait que j’avais quitté celle de la terre pour son amour. Elle me recommanda de nouveau la prière et le sacrifice pour les pécheurs, en disant qu’un grand nombre était condamné du fait qu’il n’y ait personne qui veuille se sacrifier et demander pour eux.
Entretemps, le 3 mai 1922, Monseigneur da Silva ouvrit le procès canonique pour la reconnaissance officielle des apparitions. L’enquête ne commença réellement que deux ans plus tard, en 1924. La commission d’enquête interrogea Lucie, mais sans jamais lui demander de révéler le contenu du secret, hélas.
Le 26 octobre 1925, après quatre années passées à l’Asilo de Vilar, Lucie entra comme postulante au couvent des sœurs Dorothées à Pontevedra, en Espagne. Six semaines après son arrivée, le 10 décembre 1925, la Sainte Vierge apparut à la jeune postulante pour lui demander la communion réparatrice des premiers samedis, comme elle l’avait annoncé au cours de l’apparition du 13 juillet 1917. Ce jour-là, la Sainte Vierge avait dit à Lucie : « Pour l’empêcher [la 2e guerre mondiale], je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. »
Tout de suite, Lucie révéla tout à son nouveau confesseur et directeur spirituel, Don Lino Garcia, sans toutefois révéler le lien entre la demande qu'elle venait de recevoir de Notre-Dame et le secret reçu à Fatima. La rédaction qu’elle fit de cette apparition n’a malheureusement pas été conservée. Mais nous en avons une narration dans la lettre qu’elle écrivit deux ans plus tard, en décembre 1927, à la demande de son confesseur de l’époque, le père Aparicio. Comme elle montrait une certaine répugnance à écrire à la première personne, le père lui proposa d’écrire à la troisième personne. Voici ce qu’elle lui écrivit :
Le 10 décembre 1925, la Très Sainte Vierge lui apparut, et, à côté d’elle, porté par une nuée lumineuse, l’Enfant-Jésus. La Très Sainte Vierge mit la main sur son épaule et lui montra, en même temps, un cœur entouré d’épines qu’elle tenait dans l’autre main.
Au même moment, l’Enfant-Jésus lui dit : « Aie compassion du Cœur de ta Très Sainte Mère, entouré des épines que les hommes ingrats lui enfoncent à tout moment, sans qu’il y ait personne pour faire un acte de réparation afin de les en retirer. »
Ensuite la Très Sainte Vierge lui dit : « Vois, ma fille, mon Cœur entouré d’épines que les hommes m’enfoncent à chaque instant, par leurs blasphèmes et leurs ingratitudes. Toi, du moins, tâche de me consoler et dis que tous ceux qui, pendant cinq mois, le premier samedi, se confesseront, recevront la sainte Communion, réciteront un chapelet et me tiendront compagnie pendant quinze minutes, en méditant sur les quinze mystères du Rosaire en esprit de réparation, je promets de les assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires pour le salut de leur âme. »
Ainsi, ce 10 décembre 1925, Notre-Dame a tenu sa promesse de revenir. Et ce qu’elle confie ce jour-là à sœur Lucie est particulièrement important. Non seulement, Notre-Dame précise les conditions de la pratique qu’elle demande, mais elle dit dans quelle intention la faire et elle ajoute un fruit extraordinaire : l'assurance du salut éternel pour ceux qui pratiqueront cette dévotion pendant cinq mois consécutifs.
Sœur Lucie parla également de cette apparition à sa supérieure, Mère Magalhaes, qui était toute gagnée à la cause de Fatima et qui avertit elle-même Monseigneur da Silva le 29 décembre suivant. Mais aucune de ces démarches n’aboutit. Sœur Lucie s’en ouvrit alors à d’autres personnes, en particulier à son premier confesseur, Monseigneur Pereira Lopès qui conseilla d’attendre.
Lucie était tourmentée par le peu d’effet de ses initiatives, lorsque le 15 février 1926, l’Enfant-Jésus lui apparut une nouvelle fois. Quelques jours plus tard, elle rapporta les faits à Monseigneur Pereira :
Le 15 février, j’étais très occupée par mon emploi, et je ne songeais presque pas à cela [l’apparition du 10 décembre précédent]. J’allais vider une poubelle en dehors du jardin. Au même endroit, quelques mois auparavant, j’avais rencontré un enfant à qui j’avais demandé s’il savait l’Ave Maria. Il m’avait répondu que oui, et je lui avais demandé de me le dire, pour l’entendre. Mais comme il ne se décidait pas à le dire seul, je l’avais récité trois fois avec lui. À la fin des trois Ave Maria, je lui ai demandé de le dire seul. Comme il restait silencieux et ne paraissait pas capable de le dire seul, je lui demandais s’il connaissait l’église de Sainte-Marie. Il me répondit que oui. Je lui dis alors d’aller là tous les jours et de prier ainsi : « Ô ma Mère du Ciel, donnez-moi votre Enfant-Jésus ! » Je lui appris cette prière, et je m’en allai.
Donc, le 15 février, en revenant comme d’habitude, [pour vider une poubelle en dehors du jardin], j’y trouvai un enfant qui me parut être le même (que précédemment), et je lui demandai alors : « As-tu demandé l’Enfant-Jésus à notre Mère du Ciel ? » L’Enfant se tourna vers moi et me dit : « Et toi, as-tu révélé au monde ce que la Mère du Ciel t’a demandé ? » Et, ayant dit cela, il se transforma en un enfant resplendissant.
Reconnaissant alors que c’était Jésus, je lui dis :
— Mon Jésus ! Vous savez bien ce que m’a dit mon confesseur dans la lettre que je vous ai lue. Il disait qu’il fallait que cette vision se répète, qu’il y ait des faits pour permettre de croire, et que la Mère supérieure ne pouvait pas, elle toute seule, répandre la dévotion dont il était question.
— C’est vrai que la Mère supérieure, toute seule, ne peut rien, mais avec ma grâce, elle peut tout. Il suffit que ton confesseur te donne l’autorisation et que ta supérieure le dise pour que l’on croie, même sans savoir à qui cela a été révélé.
— Mais mon confesseur disait dans sa lettre que cette dévotion ne faisait pas défaut dans le monde, parce qu’il y avait déjà beaucoup d’âmes qui Vous recevaient chaque premier samedi, en l’honneur de Notre-Dame et des quinze mystères du Rosaire.
— C’est vrai ma fille, que beaucoup d’âmes commencent, mais peu vont jusqu’au bout et celles qui persévèrent, le font pour recevoir les grâces qui y sont promises. Les âmes qui font les cinq premiers samedis avec ferveur et dans le but de faire réparation au Cœur de ta Mère du Ciel me plaisent davantage que celles qui en font quinze, tièdes et indifférents.
— Mon Jésus ! Bien des âmes ont de la difficulté à se confesser le samedi. Si vous permettiez que la confession dans les huit jours soit valide ?
— Oui. Elle peut être faite même au-delà, pourvu que les âmes soient en état de grâce le premier samedi lorsqu’elles me recevront, et que, dans cette confession antérieure, elles aient l’intention de faire ainsi réparation au Sacré-Cœur de Marie.
— Mon Jésus ! Et celles qui oublieront de formuler cette intention ?
— Elles pourront la formuler à la confession suivante, profitant de la première occasion qu’elles auront pour se confesser.
Aussitôt après, Il a disparu, sans que je sache rien d’autre des désirs du Ciel, jusqu’aujourd’hui.
Cette révélation de l’Enfant-Jésus est également très importante, car elle confirme l’esprit dans lequel pratiquer cette dévotion et accorde plusieurs assouplissements pour en faciliter la pratique. Ce que veut le Ciel avant tout, c’est que nous réparions les offenses faites envers le Très Saint Cœur de Marie. Cette demande est exprimée trois fois. Le 10 décembre 1925, l’Enfant-Jésus dit : « Aie compassion du Cœur de ta Très Sainte Mère » ; juste après, la Sainte Vierge ajoute : « Toi, du moins, tâche de me consoler ». Et deux mois plus tard, l’Enfant-Jésus redira : « Les âmes qui font les cinq premiers samedis avec ferveur et dans le but de faire réparation au Cœur de ta Mère du Ciel Me plaisent davantage. »
Et Dieu tient tellement à cette dévotion réparatrice envers les outrages faits au Cœur de sa Sainte Mère que non seulement Il réduit le plus possible les exigences matérielles de cette dévotion, mais Il accorde également le salut éternel à ceux qui la pratiqueront avec ferveur cinq mois de suite. Sans exagérer, on peut dire que jamais le Ciel n’est allé aussi loin dans l’attribution de ses dons.
Malheureusement, ni Monseigneur Pereira Lopès, ni Monseigneur da Silva ne firent quoi que ce soit. Malgré tout, Mère Magalhaes commença à propager cette dévotion et Don Lino Garcia célébrera tous les ans l’anniversaire de l’apparition du 10 décembre 1925.
10 décembre 2025 : centenaire de la demande de Notre-Dame
Le 10 décembre prochain, ce sera le centième anniversaire de la demande de Notre-Dame. Et l’histoire nous enseigne qu’il n’est pas bon de laisser trop de temps avant de réaliser une demande du Ciel. Ainsi, le 17 juin 1689, Notre-Seigneur apparut à sainte Marguerite-Marie et lui demanda de faire parvenir au roi Louis XIV les demandes suivantes : consacrer son royaume à son Sacré-Cœur, faire construire un édifice en son honneur et œuvrer pour l’établissement d’une fête du Sacré-Cœur. Quelques jours après, le 25 août 1689, sainte Marguerite-Marie adressa une lettre au roi. Mais ni Louis XIV, ni ses successeurs Louis XV et Louis XVI ne firent ce que demandait Notre-Seigneur. Le 17 juin 1789, cent ans jour pour jour après la demande de Notre-Seigneur, à Versailles, les députés du tiers état, renforcés par quelques représentants du clergé, se sont proclamés Assemblée nationale, véritable acte de naissance de la république qui, peu après, abattra le trône et décapitera le roi. À l’inverse, en 1938, les évêques portugais consacrèrent le Portugal au Cœur Immaculé de Marie, comme elle l’avait demandé, et le Portugal fut épargné par la guerre.
Il nous reste un peu plus de 7 mois avant ce centenaire. D’ici là, il faut tout faire pour répandre cette dévotion, comme l’a demandé la Sainte Vierge, et si possible la faire reconnaître par le nouveau pape qui sera élu par le futur conclave. Pour cela, n’hésitez pas à transmettre cette lettre de liaison aux contacts de votre carnet d’adresses afin que le plus grand nombre possible de catholiques prient à cette intention, pratiquent cette dévotion encore très mal connue et la fassent connaître autour d’eux.
De plus, l’élection d’un nouveau pape est toujours à un moment particulièrement important pour l’Église. Il faut prier pour que le Saint-Esprit inspire aux cardinaux de choisir un pape qui ait la force et le courage de corriger les erreurs répandues tant dans le monde que dans l’Église. Supplions Notre-Dame de demander à son Fils de nous accorder un pape selon son Cœur. Pour cela, il n’y pas de plus puissant moyen que les prières qu’elle a elle-même demandées. Aussi, samedi (3 mai), n’omettons pas de faire une communion réparatrice et récitons le chapelet chaque jour pour le bon déroulement du conclave et l’avènement d’un saint pape.
Un appel à tous les catholiques est lancé (version en anglais pour nos amis anglophones). Diffusez cet appel autour de vous le plus possible.
Célébrations du centenaire dans le monde
Pour célébrer le plus dignement possible cet anniversaire et ainsi répondre la demande divine faite lors des apparitions du 13 juin et du 13 juillet 1917de « répandre dans le monde la dévotion au Cœur Immaculé de Marie », l’Alliance des 1ers samedis du mois de Fatima (https://jubile2025-fatima.org/) a été créée et organise différentes célébrations.
Après les célébrations à la chapelle de la Médaille Miraculeuse, rue du Bac, en janvier, puis à Magdouché au Liban en février, puis à Notre-Dame de Lorette en Italie et à Walshingam en Angleterre en mars, enfin à la Grande Chartreuse en avril, pour le mois de mai, deux événements sont organisés par l’Alliance : l’un au Burundi en présence des huit évêques du Burundi (pour plus de précisions, cliquer ICI) ; l’autre au sanctuaire de Notre-Dame de la Paix à l’Ile Maurice.
L’organisation de ces différentes célébrations a un coût élevé. Vous pouvez aider à leur organisation en faisant un don, déductible de vos impôts sur le revenu, par l’intermédiaire de Credofunding : https://www.credofunding.fr/fr/jubile2025-fatima. Vous contribuerez ainsi activement à répandre dans le monde la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, et plus particulièrement la dévotion des premiers samedis du mois que Notre-Dame a demandé le 10 décembre 1925.
En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie
Yves de Lassus